La semaine suivante, après mon excursion à Disney World, je suis parti encore d’aller à la competition des robots de FIRST qui s’est trouvé à Atlanta. Ce n’était pas trop loin de la Floride, alors c’était un peu ironique que je suis rentré et puis je suis retourné à presque le même état.
L’aéroport dans lequel s’est trouvé notre avion avant le vol, c’était très petit. Je l’ai à peine aperçu avant d’y arriver, et ensuite j’éntendais autour de mois parler de sa petitesse. Mais l’avion s’est marché sans problème et puis on est arrivé à Atlanta.
Après ça, il fallait prendre le train et aller à pieds à l’hôtel. Après attendre un peu et chercher nos chambres, nous avons découvert qu’elles se ne trouvaient pas au quatrième étage, mais à l’étage quarante et un. C’était cool, et la vue était bonne.
Pourtant, ce n’était ni pourquoi nous y sommes allés ni ce que nous y avons fait. On y était pour fair gagner notre robot, et on a plus ou moins réussi. Notre alliance (les Überbots, les Kill-A-Bytes, et bien sur, nous) est devenue la meilleur dans notre division, et quatrième dans tout le monde. La competition était un peu stressant pour moi car j’étais le seul programmeur de l’équipe, alors chaque fois où le robot n’a pas fait ce que nous voulions, il se peut que c’était sois ma faute sois ma problème…
La plupart de mon travail, c’était pour les quinze secondes au début de chaque match, où les étudiants (sauf un qui a des contrôles limités) ne peuvent pas communiquer avec le robot. J’ai fait le programme qui devrait faire conduire le robot tout droit, tourner à gauche et finalement continuer tout droit encore. Le competition cette année ressemble à une course, et on gagne des points quand le robot traverse les lignes. C’était difficile pour un robot sans yeux qui ne peut rien voir, et un robot dont les moteurs de conduire ne sont guère égales.
Pourtant, la problème qui m’a embêtait le plus, malgre que je l’ai compris et je l’ai accepté, c’était la grande attente chaque fois après changer le programme et le mettre à l’épreuve. Je le comprends parce que je n’étais le seul qui voulait le robot, car les ingénieurs doivent toujours faire les changements et les chauffeurs devraient pratiquer aussi, mais cela ne l’arrête pas à m’embêter. À l’école, j’avais fait marcher les encodeurs optiquaux, les sondes ultrasoniques, le conseil infrarouge, la serie des événements pour lancer le ballon, et plus, mais à Atlanta je pouvait faire seulements de petits changements, dont la plupart étaient à cause des moteurs de conduire à la gauche, qui devenaient plus faibles, peu à peu. Oh, et j’ai presque oublié, je suis devenu malade le soir après avoir mangé chez Moe’s. Cela ne m’a pas aidé, mais cela ne pouvait pas m’arrêter non plus.
Mais je ne serai jamais satisfait, parce que sinon le robot ne s’ameliore plus. Je peux être heureux mais jamais satisfait. Alors peut-être que je devrais être content d’avoir reçu des points avec la mode autonome, parce que je ne suis pas sûr que cela s’est passé jamais chez les Bobcats avant cette année. Mais je sais qu’il se peut faire mieux…
4 commentaires:
Naturellement, Atlanta a été mieux que Disney, oui?
je vous dispute. Disney sont tres magique! Les princesses et le souri Mickey?!
tu as de la chance, je ne pourrais pas aller au un ni l'autre!
je deteste Disney. naturellement, Atlanta a été mieux.
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