samedi, septembre 16, 2006

Ma sport

Quand je raconte au personne que je fais un sport, personne demande « quel sport? », « Je cours » je répond et c’est indenible que beaucoup de personne ne le trouve un sport. « Mais c’est tout ? Ce n’est pas possible, tu dois utiliser une boule en jouant d’un sport » Ce n’est pas vrai... quelquefois, c’est vraiment plus difficile de jouer sans une boule !

Avant la commencement de le cours, je pense, « je dois vraiment essayer ! Je dois courir si vite que je peux. Je dois courir plus vite que hier. » Je ne peux pas penser à la négatif. Je ne peux pas me demander si je peux finir... je dois le savoir ! Je répète avant de commencer, je réspire. « Vous avez cing minutes jusqu’à la commencement » dis l’entraîneur. J’éprouve neuveux, mais je sais que après vingt-cinq minutes, je vais avoir fini. Après le cours, je peux rester, mais maitenant, je dois attendre pour le commencement, je dois attendre pour le son du fusil qui commencera le travail- le travail que j’adore.

Quand le fusil son, je dois courir vite si je veux éviter le grand ensemble d’athlètes. Avant le commencement, je trouve mon « pace », (combien de minutes pour mile.) Je dois le suivre pendant le cours. Je pense aux quelquechoses en train de courir, mais je pense aussi de continuer. « Un peu plus vite, je peux courir un peu plus vite. J’ai fini un demi, je dois courir un peu plus vite. » Quand je suis proche de la fin, je change le « pace », je cours vraiment plus vite. Je pense à la fin, mais je pense à le cours avant le fin. « Je peux lui battre, si je cours plus vite. Je dois courir le plus vite... MAITENANT » Donc, je finis le cours après utiliser tout ma énergie.

Je suis vraiment fatiguée après le fin, mais je suis vraiment heureux aussi. Le cours est difficile, mais quand je peux rester je comprend pourquoi je l’avais fait. C’est parce que j’éprove l’heureusement pendant et apres le faire. Ça c’est la meillure sensation dans le monde.

Personne ne comprend pas. C’est un sport très difficile. Mais, c’est indénible que je l’adore plus de les autres.

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