C’était la 3ème édition du festival national du théâtre amazighe à Batna dans un théâtre régional. Le mot « Amazighe » m’a embrouillé, mais quand je l’ai recherché, j’ai appris que c’est un nom officieux pour les gens qui parlent la langue « Berbère » au Moyen-Orient. Amazighe est un nom singulier ; le forme plural est « Amazighes, » lequel traduit à : « Gens libres. » Les gens s’appellent les Amazighes, mais vraiment, ils sont les Berbères. De toute façon, puisque l’Algérie a une grande population des Berbères, le festival national du théâtre amazighe est situé là.
Le festival duquel je parle a honoré des animateurs « de la scène culturelle amazighe », comme les figures d’art algérien, Sonia et Fouzia Aït El Hadj. J’ai essayé de les rechercher, mais peut-être ils sont célèbres juste en Algérie… C’était très difficile de trouver des célébrités étrangers quand l’article j’ai lu était d’un journal algérien et en français, et je suis américain avec un ordinateur en anglais ! Google en anglais n’a pas des résultants, mais Google.fr était plus utile ! J’ai appris que Fouzia Aït El Hadj est un dramaturge… ca veut dire que son travail est d’écrire des pièces. J’ai trouvé un article où il a parlé des choix de langue au théâtre algérien. Il y a une discussion en Algérie spécifiquement entre des dramaturges qui écrivent en arabe : doivent-ils utiliser l’arabe classique, ou l’arabe populaire quand ils écrivent des pièces ? Fouzia Aït El Hadj, le personnage dans l’article du festival national du théâtre, dit que l’arabe propre est la meilleure, mais quelquefois l’arabe familier soit nécessaire. Il croit que « la meilleure façon de faire du théâtre, c'est de se pencher sur un texte propre et correct, un texte où il y a une recherche du verbe, recherche certes mais pas lourde ou complexe. Ce genre de texte semble être effectivement approprié à la scène. »
« Sonia » – qui, je pense, est une traductrice (et peut-être une dramaturge aussi) – a été honorée aussi par le festival avec Fouzia Aït El Hadj. C’est possible qu’ils soient mariés mais je ne suis pas certaine. De toute façon, Sonia avaient un bon point dans mon article de langue arabe quand elle a cru que c’est nécessaire de traduire des pièces qui sont écrit en français à la langue arabe avec un expert du sujet. Pour un de ses pièces, l’article explique que elle a trouvée « un expert en langue arabe en vue de corriger, de soigner et d'étoffer la prononciation, l'intonation, donc l'élocution des comédiens. » L’article continue, « Résultat : le jeu était net, perceptible, riche, aéré et, de surcroît, savoureux. Il était franc, authentique. » Je comprends pourquoi Sonia et Fouzia Aït El Hadj sont honorés pour ses efforts au théâtre algérien… C’est évident qu’ils faites beaucoup d’attention des issues au théâtre algérien !
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