La Tunisie inclue une population puissante islamique qui, quoiqu'elle ne soit pas la groupe du majorité, agit comme un influence majeur. Selon Nadia el-Fani, une artiste musicale, la plupart des voix vient de celles qui sont «exprimés»; il se peut qu'elles pratiquent peut-être un suffrage libéral. Ça, c'est vrai. Elle trouve ce parti islamique comme fournisseur d'une économie libérale, et il est essential qu'on combat les empêcheurs de ce type de liberté. Pourtant, a-t-elle dit, le pouvoir politique des islamistes n'est pas un qui est écrasant à cause des milliers qui ont âge de voter, mais ne l'ont pas encore fait. Redoutablement, ces citoyens tunisiens comprennent des deux ou trois cents milles voix. Malgré ce chiffre-ci, les islamistes ont gagné du succès à l'Assemblée constituante. Au lieu de ce régime antidémocratique, el-Fani croit qu'il doit y avoir un influence conservateur qui soutien des droits, mais pas comme ceux aux Etats-Unis. Au contraire des croyances de la plupart des citoyen de la Tunisie, elle insiste qu'on doit descendre les voies des islamistes qui se font connus à l'Assemblée.
Autrefois, les films et des chansons de Nadia el-Fani ont crées des conflits sociaux entre lui et les traditions culturales de la Tunisie. Elle est devenue athée depuis quelques années, et maintenant, elle l'exprime dans ses productions musicales. En plus, elle a fini un documentaire qui s'appelle «Ni Allah, ni maître!» dans lequel elle prétend qu'il n'y a aucun d'importance au rapport entre le peuple et Dieu. De plus, elle explorait des thèmes de l'homosexualité est les doit des femmes dans lesquels beaucoup luttent au contexte de la plus grande société. La manière à laquelle elle a montré ces idées, c'est-à-dire sans honte ou peur et avec du courage fort envers le public, a par la suite agacé des milliers. Les réponses violentes ont amorcé, mais el-Fani ne bougeait jamais, même quand elle a contracté un cancre du sein. En vrai dire, elle a utilisé ce grand changement de montrer son être obstiné; elle s'est révolté par changer le nom de son film à «Laïcité, Inch'Allah».
Pendant elle continue de résister les bornes culturales, el-Fani voudrait que la jeunesse d'aujourd'hui font la décision de ne pas suivre les traditions culturales qui gouvernent la Tunisie. Elle décrit que les ados sont forcé d'adopter les règles des mosquées et des endroits où on peut faire des prières, et que les spécialistes religieux veulent créer un nouveau mouvement en utilisant les jeunes. Il y a sans doute un régime, a-t-elle insisté, qui fait «un désert politique», et il faut qu'on bifurque.
Voilà le clip vidéo:
http://www.jeuneafrique.com/videos/254/nadia-el-fani-le-projet-d-ennahdha-est-antidemocratique.html
Voilà l'article:
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2634p019.xml0/
1 commentaire:
Il y a plus d'intolerance que l'Etats-Unis. Je ne peux pas imagine si j'etait force de participer dans la religion.
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