dimanche, janvier 22, 2012

Quel Scandale-L'Histoire Entière

Voila: Partie Un, Partie Deux, et (la nouvelle!) Partie Trois

Partie 1:

Bonjour tout le monde. Je m’appelle Inspecteur Hercule Poirot et j’ai une histoire choquante pour vous. Oui, c’est un scandale, c’est la vérité. Mais, c’est aussi une histoire de meurtre, d’espionnage, de la justice. Qui est vraiment coupable ? Qui est le vrai criminel ? Vous êtes le juge. Je suis juste l’inspecteur avec les indices.
C’était une nuit pluvieuse et sombre. Malgré l’orage, le Marquis DeMort avait un grand bal chez lui. Il a invité tout les gens qui habitaient dans le village. La belle Madame Foudroiement, le monsieur entendu, Guillaume Cercueil, la bonne rusée, Mademoiselle Lucille DeCorps, et tout les autres. Mais ce qu’ils n’ont pas su a ce moment-la est ceci : un étranger mystérieux est arrivé en ville. Un voleur qui s’appelle Jean-Louis Levoleur. Jean-Louis est allé au village du Marquis DeMort de le voler et de tuer Madame Foudroiement, la cousine du Marquis.
Au début le bal étaient amusant et tout le monde étaient plein de bonheur. La Mademoiselle DeCorps était servir des verres des invités. Quand elle a vu le Monsieur Cercueil, elle le passé une petite enveloppe avec un petit lettre. Il l’a lu. A 12 heures exactement, c’était minuit, La bonne, Lucille ainsi que le Monsieur Guillaume Cercueil se sont glissés hors de la salle de danse. L’horloge sonna minuit. Tout à coup, il y avait un coup de feu, un hurlement, et puis la Madame Foudroiement s’étalait du sol, mort. Naturellement, le marquis se l’est précipité. Il a crié, « Non ! Mon Dieu, non ! Pas ma chère cousine ! »
Tout de suite après le coup de feu il y avait le chaos. Tout le monde était effrayé. De toute façon, après le coup de feu, Lucille DeCorps, qui ressemble à la Madame Foudroiement un peu, a couru du marquis et elle a remarqué un poignard dans la main de la Madame Foudroiement.

« Qu’est que c’est ?! » elle a crié. « Monsieur Marquis, Je pense qu’elle essayait de le tuer ! Elle avait beaucoup de la haine, cette femme ! Elle veut vous renverser !»
« C’est impossible ! Elle était ma cousine ! Elle était la—»
Le Monsieur Cercueil est entré avec un homme. « J’ai trouvé le criminel ! J’ai capturé la menace ! Il essayait de voler vos richesses ! Il a tué votre cousine !»
« C’est la que tu te trompes ! » a crié Levoleur. « L’assassine c’est votre bonne ! Elle a des plans de vous faire du chantage ! Elle est une espionne ! »
A ce moment-là, les lumières ont clignoté et il y avait un autre coup de feu et le Marquis DeMort était mort, le mur éclaboussé de sang. Et il y avait trois gens qui étaient absent : La bonne, Lucille DeCorps, l’homme Jean-Louis Levoleur, et le Monsieur Guillaume Cercueil qui se sont cassés.
Qui est le meurtrier de la Madame Foudroiement ? Du Marquis DeMort? Il est-où maintenant ? Est-ce que c’est la bonne ? Le monsieur ? Le voleur ? Ou tout les trois ? Qui est vraiment coupable ?Qu’est-ce que VOUS pensez ???

Partie 2:

C’était la nuit du meurtre. C’était vers trois heures. La lune poignait pour beaucoup d’heures. Le village était silencieux. Mais personne n’a l’air en sécurité…il y avait un assassin qui rôdent dans les rues du village ! Il y avait une petite chaumière sur la périphérie du village. Dans cette chaumière il y avait deux hommes. Un homme était le Monsieur Guillaume Cercueil. L’autre homme était le Marquis DeMort. Le vrai Marquis DeMort. ‘Le Marquis’ qui s’est tué était vraiment un jardinier du Marquis qui s’appelle Gérard. Il simulait d’être le Marquis DeMort car Monsieur Cercueil et la bonne, la Mademoiselle Lucille DeCorps, pensaient que la vie du Marquis menaçait.
Donc, maintenant, cette nuit, ils parlent…
« …mais je ne sais pas ! Ce n’est pas ma faute ! Je montais la garde monseigneur ! » A crié le Monsieur Guillaume Cercueil.
« Donc comment est-ce que le voleur a entré mon palais ?!?...Dites moi !...MAINTAINENT !!! » A hurlé le Marquis.
« Je ne sais pas monseigneur, vraiment. C’est la vérité ! Mais…après le second coup de feu, j’ai enlevé Levoleur, le voleur, et je me suis cassé ! Et puis, je suis arrivé ici avec mon prisonnier ! »
« D’accord, d’accord…ou est le prisonnier maintenant ? Peut-être il sait quelquefois que nous ne savons pas… »
A ce moment la, Monsieur Cercueil a appelé pour le garde du prisonnier, qui s’appelle Sébastien. Quand Sébastian est entré la chambre avec Levoleur, Levoleur hurlait et bottait. Quand il était calme, Guillaume a parlé.
« J’ai trouvé cet homme quand il essayait d’échapper votre palais. Il avait le collier de perles qu’il a volé de la Madame Foudroiement. Je l’ai trouvé juste après le premier coup de feu, l’un qui a tué la pauvre Madame Foudroiement. »
« Qu’est-ce que tu as de parler à cette accusation ?...Rien ?! » a dit le Marquis.
« Non. Je dirais la : j’ai volé le collier, c’est vrai. Mais je ne suis pas coupable de tuer la Madame Foudroiement ou votre jardinier ! » Levoleur a répondu.
« Tu mens ! Je nie ton alibi. » A dit le Marquis.
«Levoleur a rigolé. « Vous pensez que vous avez la sagesse ? Vous pensez que vous avez le pouvoir ? Tuez-moi si vous voulez, mais vous serez déçu. Le vrai assassin est votre bonne ! »
« Tais-toi ! » Le Marquis a sorti son écharpe et il l’a enfoncé dans le bide de Levoleur. Il est mort.
« Donc, Guillaume, ou est ma bonne ? Ou est Lucille ? »
« Ah Bonjour monseigneur. C’est moi. Je suis désolé que je sois en retard. »
Le Marquis a tourné et la, dans l’entrée était la bonne, Lucille DeCorps.

(Nouvelle!!!) Partie 3:

« Ah Mademoiselle, bienvenue. Entre, reste-toi. Asseyez-vous. Ah bien. Sébastien, ferme la porte. Il fait froid cette nuit et il y a danger et mort partout. »
« Toute de suite Mon Altesse. »
Le Marquis DeMort, qui secouait à la cause du froid, a tourné vers la bonne, Lucille DeCorps qui ne frissonnait pas malgré le froid insoutenable. En fait, elle avait l’air très chaud, comme si elle était angoissée, et il y avait une petite goutte de sueur qui chutait en la joue. Ou est-ce que c’était une larme apologétique ? C’est un mystère.
Nous ne saurons jamais parce qu’a ce moment, la bonne l’a essuyé et elle a dit, « Merci Mon Altesse. Est-ce que vous êtes bien ? Je suis arrivé dès que la voie était libre. »
« Physiquement, a répondu le Marquis, Je suis bien, mais mon esprit n’est pas au repos. L’homme-la, celui qui est mort, il était le voleur du collier de perles de ma chéri cousine, la belle Madame Foudroiement. »
« Ah oui, vous êtes raison monseigneur. C’est Levoleur sans doute. Mais pourquoi est-ce que vous êtes inquiète ? Il est mort et vous n’êtes pas. Quel est le problème ? Vous avez le collier, non ? »
« Si, je l’ai. Mais ce n’est pas tout. Avant je l’ai éliminé, il était persuadé que le vrai meurtrier et toi, mademoiselle. »
La bonne a commencé de pleurer. « Non ! Ce n’est pas possible. Comment est-ce qu’il savait ? »
Le Marquis a gloussé nerveusement. « Sait quoi mademoiselle ? » a demandé le Marquis.
« Le collier. C’est inestimable pour moi. Mon beau, beau collier. » a sangloté la bonne.
« Je n’y comprends rien…attends…Antoinette…c’est toi ? »
« Bien entendu. C’est moi. La vrai Madame Foudroiement, ta ’chéri cousine ‘. Pour quoi est-ce que tu pense que je suis en deuil pour ta pauvre bonne, Lucille ? Elle est morte aussi, tu sais. Elle simulait d’être moi pour que mon plan peuvent parfait. Je suis la vraie héritière du trône. C’est le mien et aucun autre !»
Le Marquis DeMort était terrifié. « Je ne comprends pas. Je t’ad—»
Mais il ne fini jamais, A ce moment, le monsieur, Guillaume Cercueil a sorti son revolver et il a tiré un coup de la nuque du Marquis DeMort et donc, il s’est effondré dans une flaque de sang. Guillaume a regardé à Madame Foudroiement a travers le nuage de la fumée. Son visage était couvert en sang.
« Il n’y a rien de comprends, mon cousin. J’ai gagné. » a chuchoté la vraie Madame Foudroiement. « Je serai la dirigeante de la palais et Guillaume sera mon mari. »
« Antoinette, ma chérie, et le garde ? » a demandé le monsieur.
« Tue-le, mon amour. Il sait trop. »
Sébastien a tourné et il a essayé de courir, mais malheureusement, Guillaume était plus vite que lui. Avec un autre coup de feu, le pauvre Sébastien est mort avec une balle s’est logé dans l’orbite.
Madame Foudroiement a rit passionnément. « Bon travail, monsieur ! Et maintenant, revendiquons mon trône ! »
Les deux meurtriers sont sortis la chaumière et ils ont commencé à marcher bras-dessous vers le palais. Laisser les trois cadavres, ils on disparu dans l’averse et les hurlements du vent. Dans la nuit noire.

3 commentaires:

Danielle a dit…

C'est plus longue pour moi.

Gail McKenna a dit…

haha rigolo

Nick Bayer a dit…

Merci Madame! Je suis tres cantent que vous l'aimez! J'ai travaillé plus de créer un bon fin avec des revirements et tournants! ;)