dimanche, janvier 06, 2008

Herzog

Avant que j’aie commencé lire à Herzog par Saul Bellow, ma perspective de vie n’était pas lourd avec réalité. Au début, Moses Herzog a divorcé. Il a dit, « Chère princesse, je me souviens assez souvent... Je pense à la Marszalkowska, au brouillard. » Touts les hommes de la monde connaissaient comment de courtiser en français. « Ici tout est gâché. » « Une dizaine de jours à Varsovie—pas longtemps. » « Guéri de cette petite maladie. » « Pas grave du tout. » « J’embrasse ces petites mains, amie. » Avant de lire, gâché n’existe pas dans ma vocabulaire. Mais, soudainement, je le sais. Il était amusant de lire. C’était amusant ! « Je veux » est le cri de cœur élémentaire. Moses Herzog est un labyrinthe de contradicition. En addition, les femmes de Herzog sont très importantes. Elles excitent sa coiffeuse, excitent sa charnelité, passent son amour, attirent son curiosité, et par registrer sa intelligence et son charme et sa beauté, elles donnent les joies de garcon dans l’homme. Avec touts les insultes elles lancent, touts les épithètes elles forgent, touts les régardes sévères, elles valident son existence et lui fascinent avec altérité humaine qui est maîtrisant. Alors, en ordre il peut se répare, il s’embarque sur un projet héroique : le projet de vivre tout seule. Il jete les femmes et il jete expliquant, et justifiant, et pensant, aussi. Les femmes sont les sources des plésurs et des miséries. Exprès, Herzog devienne un portraitiste métaphorique parce que les femmes en obligent.

« L’esclavage est mort. » Herzog a dit.

Cela suffit. Trop d’efforts n’est pas bon pour ma santé, peut-etre. Moses Herzog est une personage complexe, alors, en anglais je peux ecriver sur plus de milles pages. Pourtant, le blog est francais. Je suis coupable parce que le semaine dernier, j’ai oublié utiliser les nouvelles vocabulaires.

A la fin de roman, Moses Herzog ecrit une lettre au Dieu. C’est remarkable. Je pense qu’on devoir pleurer. Herzog est rempli avec lequel s’appeller subjectif, lourd, héroique. Le roman n’est pas français, mais la culture est réprsentif.

J’aime le fromage. J

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