Un klaxon crie au fond de moi, et je saute sur le trottoir; mon coeur arrête pour un moment, et j'ai la frousse. Le klaxon est le seul bruit que j'ai entendu pour une heure. Il paraît que je suis le seul âme dans la grande ville. Mais où suis-je? Que fais-je ici? C'est tout bizzare. Je continue à marcher sur le trottoir. La lune est la seule lumière qui me guide dans le profondeur de cette nuite effrayante. Les immeubles, grands et noirs, m'encerclent. Les bouteilles cassées et des papiers déchirés salissent la terre. Il fait froid, et je n'ai pas un manteau. Ma famille et mes amis me manquent. Je suis toute seule.
Je vois une autre lumière devant moi. C'est dans un petit café. Je me démande, "Pourquoi est-ce que le café est ouvert dans la nuit?" Mais il fait trop froid, et il doit être chaud dedans. Sans un autre pensé, j'entre le café. Le café est petit et détaché. Je m'assois à un table, et tout à coup, une seveuse est là, et elle me démande ce que je voudrais. "Un café au lait, s'il vous plaît," je réponds. Elle salue d'un sign de tête, et trois minutes plus tard, elle me donne mon café. Je la rémercie, en voyant son visage. Elle est petite, avec des cheveux bruns. Ses yeux verts sont triste. Elle doit n'avoir que vingt-cinq ans. "Elle devrait seule comme moi," je pense, alors, je la démande doucement, "Mademoiselle, voudriez-vous me parler?" "Oui," elle répond, et elle s'assoit devant moi.
Mais je ne sais pas ce que je devrais dire. Ça ne fait rien, car elle commence à me parler comme un ami. Elle me dit qu'elle habite dans la ville toute seule. Sa famille ne lui parlent pas du tout. Elle travail dans ce café pendant les nuits, et elle le déteste. Et son petit ami s'est tué. Elle commence à sangloter, et je ne peux faire rien. Je me sens très triste. Je veux l'aider, mais je ne peux pas. Je la démande, "Pourquoi est-ce qu'il s'est tué?" Et soudian, elle me régarde avec des yeux plein de haine, et elle me dit dans une voix basse: "Il s'est tué à cause de vous." Je suis étonnée. Je ne peux pas parler. À cause de moi? Mais ce n'est pas possible! Je ne l'ai connu jamais! J'essaye de le lui dire, mais elle ne m'entend pas. "Vous l'avez tué, et vous allez mourir," elle dit.
"Vous avez tort, vous avez tort!", je crie, et soudain, elle disparaît. Mais sa voix continue a crier: "Vous allez mourir!". Je me lève très rapide, et j'essaye de partir, mais la porte est fermée, et je ne peux pas l'ouvrir. Je vais mourir...je vais mourir....
Je vois une lumière verte, et tout est noir.
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