Quel Scandale!!!-Danielle Hopkins

C'était une nuit frais dans mon voisinage. Les étoiles étaient brillantes et belles!

Je dormirais très tranquillement. Il faisait frais, mais j'avais ma couverture. Je rêvais de pourchasser Nick Bayer férocement avec une batte de baseball. C'était bizarre....que ‘est-ce que tu veux, mon subconscient.....D'ailleurs, je dormais, et c'était une nuit calme

Mais dans cette belle nuit, il y était un scandale très horrible!

Pendant mon sommeil, il y était tout à coup un fracas dans la cuisine. Le bruit m'a réveillé. J'ai rejeté les couvertures et me suis sorti du lit. Mon cœur était battant rapidement.

« Un voleur! » je m'ai dit.

Et puis, j'ai saisi mon sabre (qui suspend au-dessus de mon lit.) C’était long et luisant, et il m’a donné le gout d’être un chevalier galant. J’ai manié le sabre avec des mains suants, et j’ai commencé d’avancer à pas de loup, jusqu’à je suis arrivée à la porte de ma chambre.

Il y était une lumière blanche dans le couloir qui était venir de la cuisine. J’ai entendu le bruit des objets étant déplacé dans le frigo. J’ai entendu la pulsation de mon cœur. Qui était dans notre maison ? Pourtant, j’étais prêt de me battre le voleur !

Finalement, je me suis faufilé dans le couloir avec mon sabre et je me suis dirigé vers les escaliers. Les bruits sont devenus plus bruyants, comme les pulsations de mon cœur. J’étais effrayée et tremblant avec le peur.

Quand j’ai rassemblé le courage, je suis descendu en bas des escaliers très silencieux. Les bruits ont restés, la lumière était toujours allumée. J’ai vu une ombre d’une personne qui était maintenant mangeant quelque chose. Je suis arrivé l’étage furtivement. Et finalement, avec mon sabre dans mes mains, j’ai frappé l’interrupteur et tourné le coin pour dire :

« Maman !? Qu'est-ce que tu fais !?!? »

Ma mère m’a répondu, « Oh, euh, Danielle, que fais-tu debout si tard ? »

Tout de suite, j’ai fait attention du pudding dans la main de ma mère. Et puis, je me suis rendu compte que le pudding qu’elle détenait était le moins ! C’était le pudding qui j’étais mangeant avant de la nuit ! J’avais tellement de la colère et la haine !

« C’est mon pudding ! Il n’y aucun d’égalité dans cette maison. Tu m’opprimes ! Tu penses seulement parce que tu es plus puissant que moi dans cette maison, cela ne te donner le droit de manger mon pudding ! Tu es un voleur ! Tu es coupable. Tu n’as aucun de mœurs ! Je ne suis pas un esclave ! Tu ne peux pas seulement recevoir mon pudding ! Je veux la justice ! Je veux la paix ! J’exige la liberté !

« ……Tu as fini ton pudding hier…. » Ma mère m’a dit.

« Ah oui j’ai oublié. Désolé. Bon soir. »