Je me promenade l’eau bleu-acier. Je ne veux pas mes chaussures deviennent mouillée. L’eau est peu profonde, et je vois les petites bulles séparé par les lignes blanches. L’eau a les cercles de vie et d’obcurité. Je tombe. Soudainment, l’eau est profondement, et j’éclabousse. Le ciel change le couleur, mais je ne me rappelle pas le couleur exactement. Je commence nager. Je n’ai jamais pas nager puisque j’avais dix ans. L’eau profondement est effrayante. Il n’y a pas un fond de l’eau. Il n’y a pas les bords. Les flèches de rocher montent partout. Ils transpercent la surface comme les épingles. Je ne peux pas monte comme les flèches pour l’air, mais c’est d’accord, parce que je suis un calmar et je peux respirer l’eau. L’eau devient plus profonde, comme les teints de minuit. Je me sens la lourdeur de l’eau dans ma peur. En les profondeurs, une forme blanche et indistingué éleve mais ce n’est pas une flèche. La forme clarifie. Il est un corcodile immense. Il nage loin de moi, mais j’ai peur. Je nage à la rive fausse. Tout mes amis existent là. Le crocodile ne me mange pas. Une fille demande, mon dieu, comment tu as fait cela ?
Je répond que je ne sais pas.
Elle répond qu’ils engagé un tailleur pour le crocodile. Il était résonable jusqu’au le crocodile devient un requin. Je vois le requin réfleche la lumiere pâle de la lune. Il est un fantôme en annule. La rive a un trou comme un carton, et je nage dedans. Il est un passage de couloirs en eau. J’ouvre le carton après le carton. Il y a une pièce incliné d'hommes de méduse flottant parmi les particules, le bois et la cendre. Je trouve une pièce avec une chaise dorée. Mes tentacules y remplissent.
La fille me suivre, en la forme de poisson. Elle nage, mais le requin-qui-était-un-crocodile se suivre. La voix de requin-qui-était-un-crocodile est dans mon esprit, profonde et gronder comme un nuage orageux. Elle nage, et je vois le désperation. Elle entre le carton mais elle noye. Mes tentacules remplissent le bateau, maintenant. Je suis le bateau. Je me secoue et je sais un trou se souffle en ma coque, parce que l’eau me fuite dedans. Mes tentacules rétractent est je me sens que le bateau se tombe en panne. Maintenant, il n’y a pas un ciel. Le ciel n’est pas important. L’eau est profondement, mais entre un mur noir et un rive orange. Le monde est poreux et spongieux. Il y a les arbres distantes. Les vagues sont comme les vagues puissantes de l’ocean. Le requin-qui-était-un-crocodile approche. Il me parle comme un orage dans ma tete. Il rit. Je se sens au lieu de voir. Une fille crie. Les vagues me portent comme je vole. J’essaye escaper. Je me sens libéré. Je me sens bon.
Le requin parle, et tout la monde est blanche.
7 commentaires:
Tu as une mémoire incroyable; je ne peux jamais rappeler mes rêves comme ça; ils sont toujours les formes indistinguées...
Ton rêve est très intéressant, je ne sais pas si je rêve comme ça. Il est plein de détail, chapeau!!
Bravo! Je l’ai trouvé vachement intéressant après avoir cherché des tas de mots dans le dictionnaire.
Oui, c'était très intéressant comme Erika a dit. D'habitude, j'oublie de ce que je rêve.
écrire des images comme ça en français n'est pas facile. On t'admire beaucoup!
Ryan, tu es très profond. Regarder cet site : http://www.wikihow.com/Lucid-Dream. Je pense qu'il vous intéressera
Ryan, le premier image j'ai eu etait du "Crocodile Hunter"... je m'excuse, parce que c'etait vraiment un piece excellent d'ecriture, mais on ne sais pas qu'esst-ce qu'on penserait. Les belles images, alors. Aussi, je te trouve tres drole apres avoir lu ton comment au mon blog... je n'ai jamais faim du papier hygienique :-)
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