Cette année aux Etats-Unis, il faut dire, n'était pas une des meilleures de ma vie. Après être revenu de la France cet été, je me suis mit toute de suite à bosser pour faire rattraper les autres qui avaient passer leur an scolaire dans le lycée. Néanmoins, en septembre, je me suis retrouvé dans un bordel pas possible car je n'avais as seulement à voir de bonnes notes, mais j'avais aussi à rendre des dossiers aux universités et jouer au foot tout les après-midis. Si je pourrais refaire cet autumn, j'aurais peut-être pas joué au foot sur l'équipe du lycée, puisque lorsqu'il y avait tant de choses à faire, le foot est devenu très embetant.
J'ai continué à bosser jusqu'au hiver, quand j'ai enfin eu des vacances de noel. Je me sentais assez rassuré parce que j'avais toujours de bonnes notes, et j'avais enfin commencé à faire un peu de progrés en francais. J'ai même pu me reposer pendant un certain temps - malheuresement, ça n'a pas duré très longtemps. Les dossiers des universités sont devenus mon seul pensé au mois de Janvier et Fevrier.
Après ça, j'ai pris un boulot chez Abercrombie, et je me suis fait accepté par l'université de Georgetown. Le volley était une autre histoire cette année - n'en parlons pas.
Bien que cette année soit vraiment dur, j'ai toujours trouvé du soutien et du sucées dans notre cours de français. J'ai fait des progrés que je ne croyais pas possible, et j'ai reussi à faire ce que je croyais être hors de mon pouvoir. Je n'ai quand même que deux regrets. J'aurais bien aimé qu'on gagne le coup de Français à Uconn, parce que je croyais qu'on le meritait plus que les autres équipes. De plus, je pense que j'aurais dû essayer de parler un peu plus en Français parce qu'il m'est evident que j'ai déjà beaucoup perdu au niveau orale.
Cependant, ce qui m'a plu avant tout cette année, c'était l'atmosphère que je retrouvais dans notre salle de cours. Je pense qu'on était d'abord une famille avant d'être une rassemblement d'élèves. Et c'est ce sentiment qui nous a vraiment aidé å bien reussir, pas forcement en ayant de bonnes notes, mais en s'améliorant avec des gens qui nous aiment.
J'amerais bien que les Juniors aient ce dernier songé en tête - On comprend bien que la vie est competitive. Mais ce qu'il faut comprendre aussi, c'est que le français elle-même ne donne pas de notes. Il n'y a ni d'éqipes ni de scores. On est pas là pour battre les autres, mais pour les aider. Le vrai sucées se trouvera dans le bonheur de vous et vos camarades de classe, et non dans le demi-point qui separe un A d'un A-.
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