dimanche, décembre 10, 2006

Noëls aux Emairats.

Les deux Noëls que j'ai passe aux émirats arabes unis n'était pas comme lesquels dont j'étais habitue A. C'était interdit de mettre les décorations de Noël dehors de la maison, ou il était visible à la publique. C'était différent, car toutes les Anne précèdent, mon père et moi mettions les décorations sur les fenêtres, accroche du balcon, et toue les places dont on pouvait les mettre. On avait aussi un projet de mettre notre sapin de Noël. Il était très vieux, et chaque fois qu'on voulait le mettre, quelque chose cassait. On le gardait car l'avons apporte de l'Amérique, et tous le sapin artificiel avait l'aire d'être faux, et ils n'étaient pas trop durable. Une fois, a mit la partie supérieure, et on commence à mettre les boulles, quand le sommet de l'arbre est tombé. Heureusement aucune bolle n’est cassée, et on a donc réparé le sommet du sapin.
Chaque Noël, on les passait chez mes grandparents, ils y inviteraient beaucoup de nos relatifs. Ce n'était possible de faire sa aux Emirats, car on n'avait aucune relative. Donc on a passé la première Noël aux émirats chez notre ami, et la deuxième dans un hôtel que nous et un groupe ont réservé pour la fête. C'était bien, mais ce n'était pas comme d'habitude. Chez mes grands parents, à minuit, sont allés au balcon pour regarder les feux d'artifice qui éclairaient la nuit, et qui bougeait la terre chôme un séisme. C'était très amusant. À Abu Dhabi, c'était interdit de célébrer les fêtes Chrétien en public, et donc il n'y avait pas des feux d'artifice, seulement le silence, et l'obscurité de la nuit. C'était un peu déprimant. On n'avait pas la cuisine prépare par main de ma grande mère. Chaque Noël, elle préparait autant qu'elle pouvait. Elle nous achetait tous qu'elle pouvait aussi. On recevait beaucoup de cadeaux de toute sorte. On recevait aussi de l'argent. C'était très gratifiant d'y habiter, car je recevais ce que je voulais.
La première Noël, mes grands parents sont venus chez nous, mais je n'ai pas recu les cadeaux que je recevais avant. Donc un jour, quand on était aux centres commerciaux, j'ai dit quelque chose dans un des magasins que je voulais avoir quelque chose pour mon ordinateur. J'ai donc demande a mon père, et j'ai recu la réponse que j'anticipe. « NON ! ». Mon grand père a entendu ça, et il m'a demande ce que je voulais, et je lui ai dit, et j'ai reçu ce que je voulais.

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